©Revue de presse des médias africains – 05 février 2025 REVUE DE PRESSE 05 février 2025

05 février 2025 - 16:36 - 545vues
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À propos de Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA : Louis-Gaston Mayila, figure emblématique de la politique gabonaise, est décédé le 4 février 2025 à Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, en France, à l'âge de 78 ans. Il avait été victime d'un accident vasculaire cérébral en 2024 et s'était retiré en France pour des soins.
Né le 25 janvier 1947 à Boungounga, dans la province de la Ngounié, Louis-Gaston Mayila a débuté sa carrière professionnelle en 1973 chez Shell Gabon, avant de rejoindre l'administration publique en tant que secrétaire général de l'aviation civile et commerciale, puis directeur de l'École nationale d'administration en 1974. La même année, il devient conseiller personnel du président Omar Bongo, et en 1975, il est nommé directeur de cabinet du chef de l'État. Au fil des ans, il occupe plusieurs postes ministériels, notamment ceux des Postes et Télécommunications, de l'Éducation nationale, du Travail et de l'Intérieur. En 1992, il quitte le Parti Démocratique Gabonais (PDG) pour fonder le Parti de l'Unité du Peuple (PUP), avant de réintégrer le PDG quelques années plus tard. En 2007, il crée l'Union pour la Nouvelle République (UPNR), affirmant ainsi son positionnement dans l'opposition.
Après le décès d'Omar Bongo en 2009, Louis-Gaston Mayila soutient les candidatures de Pierre Mamboundou en 2009 et de Jean Ping en 2016, se positionnant résolument contre le régime d'Ali Bongo. Jusqu'à sa mort, il est resté une voix critique et influente sur la scène politique gabonaise.
Sa disparition laisse un vide notable dans la vie politique du Gabon, où il était reconnu pour son franc-parler et son engagement en faveur du développement du pays.
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AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON LE MONDE : L’Afrique du Sud « ne relâchera pas son soutien » à la RDC, annonce Cyril Ramaphosa. « L’Afrique du Sud ne relâchera pas son soutien au peuple de la RDC », a annoncé lundi 3 février son président, Cyril Ramaphosa, après la mort de 14 soldats de Pretoria dans l’est de la République démocratique du Congo où progresse le groupe armé M23, soutenu par le Rwanda. « La mission prendra fin en fonction de la mise en œuvre de diverses mesures de confiance et lorsque le cessez-le-feu auquel nous avons appelé prendra effet », a déclaré le chef d’Etat après des appels sur la scène politique sud-africaine à un retrait des troupes déployées dans le cadre de missions de l’ONU ou de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) . Au moment où, après avoir conquis la grande ville de Goma, le M23 et l’armée rwandaise progressent du Nord vers le Sud-Kivu et la ville de Bukavu, se multiplient à Pretoria les critiques visant la mission SAMIDRC de la SADC instaurée en 2023. Ni la SADC, ni le ministère de la défense sud-africain n’ont souhaité communiquer à l’Agence France-Presse (AFP) le nombre de leurs militaires déployés, indiquant simplement qu’ils étaient initialement déployés à Sake et à Goma. Chercheuse dans le secteur militaire, Lindy Heinecken estime qu’il y a environ 1 300 soldats de la SADC en RDC, dont quelque 1 000 Sud-Africains, les autres venants de Tanzanie et du Malawi.
AFRIQUE CENTRALE ENCORE LLA RDCONGO SELON RFI : RDC: les chefs des églises ont présenté au président Tshisekedi leur «Pacte social pour la paix». En RDC, le président de la République a reçu, ce lundi 4 février 2025, les chefs religieux des églises catholiques et protestantes dans le pays. Un rendez-vous demandé par l’ECC et la Cenco, les deux grandes églises du Congo, pour évoquer la situation dans l’Est du pays et l’occupation de Goma par le M23 et l’armée rwandaise…C’est une délégation conjointe de la Conférence épiscopale nationale du Congo, la Cenco, et de l’Église du Christ au Congo, l’ECC, qui a rencontré le président Thisekedi…Les deux églises ont présenté au chef de l’État leur projet de sortie de crise, baptisée « Pacte social pour la paix ». Un projet dévoilé le mois dernier et, selon elles, doit répondre à la nécessité de renforcer la cohésion nationale.
AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON LE MONDE : Soudan : des dizaines de morts dans deux attaques contre deux grandes villes
Le Soudan a vécu, lundi 3 février, une nouvelle journée sanglante avec deux attaques dans le sud et l’ouest du pays. Selon des sources hospitalières, elles ont fait 65 morts et 133 blessés. Les hostilités ne connaissent aucun répit dans ce pays meurtri depuis bientôt deux ans par une guerre dévastatrice. Dans ce contexte, le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU) s’est inquiété d’informations faisant état d’exécutions sommaires de civils dans le nord de Khartoum qui seraient l’œuvre de forces alliées de l’armée nationale, en guerre contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) depuis avril 2023…Samedi, au moins 60 personnes ont été tuées et plus de 150 blessées dans un marché très fréquenté d’Omdourman, la ville jumelle de Khartoum, contrôlée par l’armée. De l’autre côté du Nil, dans la capitale même, une frappe aérienne sur une zone contrôlée par les FSR a fait deux morts et des dizaines de blessés parmi les civils, selon les secouristes.
AFRIQUE DE L’OUEST MALI SELON RFI : Mali: l’association «Tamouzok» va soutenir les autorités de transition pour la paix dans le Nord. Au Mali, l’association « Tamouzok, alliance pour la paix et la concorde » a été présentée, dimanche 2 février, à Bamako, par ses fondateurs. Une cérémonie de lancement plus officielle, à laquelle participeront les autorités de Transition et où seront invités les partenaires internationaux du Mali, est annoncée pour les prochaines semaines. Depuis que les autorités maliennes de Transition ont rompu l’accord de paix de 2015, le nord du Mali a vu ressurgir les revendications indépendantistes des rebelles du Front de libération de l’Azawad (FLA) et demeure également le théâtre des attaques jihadistes du Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (JNIM), lié à al-Qaïda, et de l’Etat islamique au Sahel. Dans ce contexte, des cadres touaregs qui soutiennent les autorités de Transition ont créé cette association pour appuyer les initiatives gouvernementales. Tamouzok – «vivre ensemble», en tamachek, la langue touareg -, est principalement composée de Touaregs. Mais l’association entend représenter et servir toutes les communautés du Nord. On compte plusieurs ministres parmi ses membres fondateurs, à commencer par son président, Alhamdou Ag Ilyène, ministre de la Communication du gouvernement malien de Transition.
AFRIQUE DE L’EST OUGANDA SELON AFRICANEWS : Ouganda : l’opposition demande la libération de Kizza Besigye. Des dirigeants de l’opposition ougandaise ont demandé lundi la libération d’un collègue dont le procès militaire fait l’objet d’une contestation juridique après que le tribunal suprême a statué que les civils ne pouvaient pas être traduits en cour martiale. Kizza Besigye, quatre fois candidat à la présidence dans ce pays d’Afrique de l’Est, est en prison depuis son rapatriement de la capitale kenyane, Nairobi, où il a disparu le 16 novembre…La Cour suprême de l’Ouganda a statué la semaine dernière que les civils ne pouvaient pas être traduits en cour martiale, remettant en cause la compétence d’officiers militaires non formés à rendre la justice. Les partisans de Besigye et d’autres activistes juridiques se sont félicités de cette décision, qu’ils considèrent comme opportune et comme un moyen pour lui d’échapper à un procès militaire qui pourrait être punitif.
AFRIQUE CENTRALE TCHAD SELON RFI : Tchad: les ex-travailleurs des bases françaises demandent un accompagnement financier aux autorités. Au Tchad, plus de 400 ex-employés des différentes bases militaires françaises dénoncent le mauvais paiement de leurs droits sociaux et le manque des mesures d’accompagnement après le départ de l’armée française du pays. Ces ex-salariés ont travaillé sur place pendant des années et demandent aujourd’hui aux autorités tchadiennes un accompagnement financier et de l’aide pour une réinsertion professionnelle. Ils ont tenu une assemblée générale lundi 3 février. Ils assurent avoir travaillé des dizaines d’années aux services sanitaires, maintenance et autres des bases françaises de Faya, Abéché et Adji Kossei, et attendent désormais des mesures d’accompagnement…Certains ex-employés ont reçu cinq mois de salaire comme mesures d’accompagnement en plus des droits sociaux. D’autres n’ont rien eu.
AFRIQUE CENTRALE ENCORE LE TCHAD SELON RFI : Tchad: les députés font leur première rentrée au sein de la nouvelle Assemblée nationale. Au Tchad, la cérémonie d’installation de la nouvelle Assemblée a commencé par un mot du secrétaire général du Conseil national de transition (CNT). Un dernier passage de relais entre l’organe qui avait remplacé l’Assemblée nationale après la mort du président Idriss Déby Itno en 2021. Le CNT a officiellement terminé sa mission lundi 3 février. La première séance plénière de la nouvelle Assemblée est supervisée par un bureau d’âge, dirigé par le doyen des élus. L’objectif de cette première séance est d’élire le premier président de l’Assemblée, qui succédera à Haroun Kabadi, dernier président du CNT. Parmi les noms qui circulent ce mardi, celui d’Ali Kolotou Tchaimi, député MPS (Mouvement Patriotique du Salut) et ancien premier-vice président du CNT. Dans cette Assemblée, le Mouvement Patriotique du Salut, parti du président Mahamat Idriss Déby, possède la majorité absolue avec 124 élus sur 188. Les autres travaux du jour consistent en la désignation d’un premier bureau ou encore à la mise en place d’un règlement intérieur provisoire. Par ailleurs, les partis politiques comptent désigner leur chef de groupe parlementaire au fil de la journée. Cela fait quatorze ans qu’une telle cérémonie n’avait pas été organisée au Tchad. La dernière législature avait été élue en 2011 et n’avait pas été renouvelée depuis.
AFRIQUE DU NORD ALGERIE SELON SAHEL INTELLIGENCE : L’ONU : Mary Lawlor dénonce les persécutions des défenseurs des droits humains en Algérie. La rapporteuse spéciale onusienne sur la situation des défenseurs des droits de l’homme a exprimé sa « profonde déception » face au traitement réservé aux défenseurs des droits humains en Algérie, évoquant plusieurs cas, notamment celui du journaliste indépendant Merzoug Touati. Dans un communiqué, Mary Lawlor a dénoncé la persistance des arrestations arbitraires, des harcèlements judiciaires, des intimidations et de la criminalisation des activités pacifiques des défenseurs des droits humains. Ces derniers sont souvent poursuivis sur la base de charges vagues, telles que « porter atteinte à la sécurité nationale »…Elle a notamment attiré l’attention sur le cas de Merzoug Touati, qu’elle a qualifié de « l’un des cas les plus alarmants » qu’elle ait examiné récemment, après sa visite en Algérie à la fin de l’année 2023. D’après l’experte, Merzoug Touati a été arrêté à trois reprises depuis 2024. Lors de sa dernière incarcération, en août 2024, sa famille aurait été maltraitée, et il aurait subi des tortures physiques et psychologiques pendant cinq jours de garde à vue. Même après sa libération, il continue d’être harcelé par les autorités judiciaires, souligne Lawlor. La rapporteuse spéciale a également jugé « tout aussi préoccupante » l’arrestation de trois avocats des droits humains et d’un jeune lanceur d’alerte entre février et juillet 2024.
AFRIQUE DE L’EST BURUNDI SELON RFI : Burundi: échec d’un programme d’aide du FMI après le refus de dévaluer la monnaie locale. Il y a 18 mois, l’annonce de l’accord entre le FMI et Gitega, assorti d’une facilité de crédit de 261 millions de dollars sur quarante mois, avait suscité de l’espoir au Burundi, un pays plongé dans une grave crise socio-économique caractérisée par un manque criant de devises et une sévère pénurie de carburant. Mais le processus s’est coincé dès que le FMI a envoyé au gouvernement le rapport de la mission qui s’était rendue à Bujumbura en janvier 2023 pour évaluer la première revue de ce programme. Le point d’achoppement ? Une nouvelle dévaluation…Toutes les tentatives afin de le persuader de changer d’avis n’y ont rien fait. Évariste Ndayishimiye est resté droit dans ses bottes de général. Dévaluer la monnaie serait participer à accélérer une inflation déjà galopante, a-t-il justifié à plusieurs reprises…Sur le plan financier, une aide budgétaire de la Banque mondiale, qui était associée à la conclusion de cet accord, tombe également à l’eau.
AFRIQUE DE L’OUEST CÔTE D’IVOIRE SELON LE MONDE : Côte d’Ivoire : des odeurs de cacao et de contrebande. Selon les évaluations de l’agence Reuters, 50 000 tonnes de cacao ont été sorties illégalement du territoire ivoirien entre octobre et décembre 2024. Car à la différence de ses voisins, où le système est libéralisé, la Côte d’Ivoire a adopté depuis son indépendance, en 1960, une politique protectionniste pour son cacao, qui représente, avec 2,2 millions de tonnes annuelles, 44 % de la production mondiale. Tout d’abord, ce dernier ne peut légalement être exporté que par voie maritime, via les ports d’Abidjan et de San Pedro. Ensuite, il est vendu par anticipation, avec un prix d’achat fixé par l’Etat au début de chaque campagne…Ce système permet aux planteurs d’être à l’abri des fluctuations du marché, mais génère aussi des frustrations lorsque les cours mondiaux tutoient les sommets, comme en décembre 2024, lorsque le prix du cacao a atteint un niveau inédit de 12 900 dollars (12 600 euros) la tonne à New York… Depuis octobre, l’armée ivoirienne a lancé l’opération « Verrou 322 » pour lutter contre la fuite des produits agricoles de rente. Plusieurs saisies de camions de contrebande ont eu lieu en janvier, mais elles restent marginales face au volume du trafic. Le Monde
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