GABON DIASPORA : Communiqué populaire, pas gouvernemental

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À propos de Félicité Amaneyâ Râ VINCENT - Rédactrice en chef à RADIOTAMTAM AFRICA , Félicité s'engage à façonner la radio de demain pour une Afrique prospère, inspirante , et prête à illuminer le monde. Restons en contact 

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Le quatuor des ministres démissionnaires vient de claquer la porte du Gouvernement de Salut National (GSN). Et franchement, qui peut leur en vouloir ? Travailler sous les ordres d’un Premier ministre englué dans les ragots d’hôtel et les procès de mœurs, c’est un peu comme être pilote d’avion… mais avec un commandant de bord occupé à draguer l’hôtesse dans le cockpit.

Un gouvernement de “Salut” ? Plutôt un radeau de la Méduse

Le GSN prétend sauver le pays. En réalité, il rame, il prend l’eau, et ses ministres en série B découvrent que le bateau ne tient que par les cordes de la communication. Pendant que le peuple souffre, le “chef” se débat dans ses affaires privées transformées en feuilleton judiciaire.

Les “capricieux et immatures” ?

Drôle de vocabulaire pour qualifier ceux qui refusent de servir de caution morale à un gouvernement plombé par des scandales de chambre. S’ils sont capricieux, alors mieux vaut être capricieux que complice. Car dans ce cirque, les vrais immatures sont ceux qui pensent qu’on peut gouverner un pays en distribuant sermons, règlements intérieurs et chartes éthiques bricolées à la va-vite pour maquiller l’incompétence.

Les vraies priorités

Pendant que le GSN joue les vierges offensées, le Gabon continue de manquer de routes, d’hôpitaux, de travail et de dignité. La seule “urgence nationale” du Premier ministre ? Son honneur froissé et ses dénégations interminables. Bref, au lieu d’être un Gouvernement de Salut National, c’est devenu un Gouvernement de Sauve-qui-peut.

Le courage de dire “non”

Quitter la table, c’est parfois le seul moyen de ne pas cautionner l’indéfendable. Ces démissionnaires ont refusé d’être les figurants d’une pièce de théâtre où l’acteur principal improvise entre deux procès. Leur départ n’est pas une fuite, c’est une délivrance.

Fait dans la rue, pas dans un hôtel
Le 23 septembre 2025
Par le Peuple Gabonais lucide.