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©Revue de Presse Afrique - du 03 Septembre 2024 REVUE DE PRESSE 03 septembre 2024

03 septembre 2024 à 17h03 - 429 vues

Par Félicité VINCENT

Bonjour et bienvenue à tous dans cette nouvelle édition de la ©Revue de Presse Afrique ! Pour cette rentrée du 03 septembre 2024, nous vous proposons un format renouvelé, dynamique, et toujours plus proche de l'actualité qui fait vibrer notre continent. Chaque jour, nous décortiquons les grands titres, analysons les enjeux, et mettons en lumière les voix qui façonnent l'Afrique d'aujourd'hui et de demain. Restez avec nous pour un tour d'horizon complet de ce qui fait la une des médias africains et internationaux. C'est parti pour une nouvelle saison de la ©Revue de Presse Afrique, où l'information se vit, se partage, et se comprend !

Je suis Félicité Amaneyâ RÂ VINCENT, votre présentatrice. Tous les soirs à 19h00, nous vous proposons un résumé en direct de l'actualité du jour en streaming vidéo. Pendant la diffusion, n'hésitez pas à soutenir ma page Facebook en envoyant des Étoiles. Merci pour votre soutien !

Ce soir, nous abordons un sujet crucial venant du Gabon : la situation politique et sociale. Nous vous offrirons un aperçu dynamique de l'actualité au Gabon, en explorant les derniers développements, les enjeux actuels, et les perspectives pour l'avenir du pays. Ne manquez pas cette analyse approfondie des événements.

AFRIQUE CENTRALE  GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA : Candidature de Daniel Mengara : Un Défi Direct à la Légitimité du CTRI. Lors d'une conférence de presse tenue ce lundi à l'hôtel Excellence, situé à l'ancienne SOBRAGA, le professeur Daniel Mengara a fait une annonce marquante en déclarant sa candidature à la présidence de la transition de la République Gabonaise. Cette révélation, inattendue pour beaucoup, pourrait entraîner des conséquences importantes sur la scène politique nationale et perturber le calendrier du Comité de Transition pour la Restauration des Institutions (CTRI), présidé par le général Brice Clotaire Oligui Nguema.

La conférence de presse a capté l'intérêt de plus de trente médias et s'est distinguée par la présence de personnalités politiques majeures telles que Marc Ulrich Malekou, président de Osons pour l’Afrique, Dimitri Obame Eyene, vice-président du Morena, et Henri Omva du Congrès des Citoyens Libres (CCL). Le Pr Daniel Mengara a partagé ses inquiétudes concernant la gouvernance actuelle du pays par les militaires, critiquant l'absence de changement par rapport à l'ancien régime et la mise en place d'un autoritarisme qui oppresse le panorama politique.

Le coup d’État militaire du 30 août 2023, bien qu’accueilli par certains comme une opportunité de rompre avec le régime Bongo, suscite des inquiétudes croissantes quant à la gestion du pays par les militaires. Le Pr Mengara a insisté sur la nécessité d’un dialogue sincère pour réformer les institutions et organiser des élections libres et justes, afin d’éviter une autocratie militaire. « Nous ne sommes pas contre les militaires, au contraire. Nous reconnaissons que les militaires jouent un rôle crucial, celui de protéger la République. Cependant, leur place n'est pas dans l'arène politique. Nous ne devons pas basculer vers une ère où les militaires gouvernent notre nation. Car une fois que la militarisation du pouvoir politique commence, elle ne s'arrête que rarement. Et cela représente un danger. Ainsi, nous, du mouvement désormais nommé « Congrès des citoyens libres », comprenons que le Gabon doit s'engager dans un dialogue sincère. »

Le Pr Mengara a également critiqué l’hyper présidentialisme qui a marqué le Gabon pendant 56 ans, appelant à une réduction des pouvoirs du président, éventuellement par l’adoption d’un système parlementaire. Il a dénoncé la distribution d’argent sans transparence, les menaces contre les syndicalistes, ainsi que les modifications de la charte de la transition sans l’approbation du Parlement et l’auto-attribution de titres par le président de la transition.

« Le Gabon a souffert pendant des décennies d’un président roi qui décidait de tout, sans contre-pouvoir. La solution réside dans la réduction des pouvoirs présidentiels, peut-être en adoptant un système parlementaire », a affirmé le Pr Daniel Mengara.

La charte de transition, promulguée le 4 septembre 2023, prévoyait la convocation d’un « collège de désignation » pour élire le président de la transition. Toutefois, cette élection ne s'est jamais concrétisée. Le Pr Mengara a remis en question cette procédure, soulignant que le général Brice Clotaire Oligui Nguema a prêté serment sans une élection préalable, en violation des termes de la charte.

« La charte a été promulguée durant la nuit du 4 septembre, et c'est ce même matin que le général a prêté serment en vertu de cette charte. Quand a eu lieu cette élection ? » A-t-il interrogé. Cette interrogation souligne la divergence entre les engagements pris dans la charte et les actions concrètes du CTRI.

Dans son discours, Marc Ulrich Malekou a exprimé un soutien inconditionnel à la candidature de Daniel Mengara Minko. Il a formulé des critiques envers les résolutions issues du récent dialogue national gabonais, mettant en lumière l'arbitraire, le déni de citoyenneté, l'absence de transparence dans les processus électoraux et les tentatives de transformation de la République en monarchie. Malekou a souligné que ces problèmes ont motivé la création de la plateforme « Je Vote Non » pour le prochain référendum, à laquelle appartiennent le mouvement panafricain Osons pour l’Afrique et le Congrès des Citoyens Libres. Il a insisté sur la nécessité d’un environnement de transparence électorale pour garantir la sincérité du vote.

Le président du mouvement panafricain Osons pour l'Afrique a critiqué les restrictions établies par le dialogue national, y compris l'exclusion des candidats issus de la diaspora, des individus mariés à des non-Gabonais, et des personnes de plus de 70 ans. En prenant pour exemples des figures internationales telles que Nelson Mandela et Joe Biden, il a souligné l'absurdité de ces limitations.

« Ces restrictions sont arbitraires et contraires aux principes démocratiques. » Elles ont pour but d'éliminer des rivaux politiques et de façonner des institutions adaptées à une personne », a-t-il affirmé.

Le Code électoral, promulgué par le général Brice Clotaire Oligui Nguema, a été critiqué par Malekou, qui l'a qualifié de partial, créateur de lacunes en matière de transparence et de refus du pluralisme démocratique. Il a terminé en affirmant que « le Gabon n'est pas à vendre » et en exprimant ses vœux de succès pour l'investiture de Daniel Mengara Minko.

« Le Gabon n'est ni à vendre ni à acheter ». Il est impératif que la gouvernance du Gabon soit assurée de façon équitable et démocratique », a-t-il ajouté.

Dans l'annonce de sa candidature, le Pr Mengara a plaidé pour la transparence électorale et la fin de l'arbitraire. Il a critiqué le Code électoral établi par le général Oligui Nguema, le décrivant comme partial et vecteur de manque de transparence et de négation du pluralisme démocratique.

Le Pr Daniel Mengara a fini par déclarer : « Aujourd'hui, je proclame ma candidature à la présidence de la transition et à l'élection présidentielle de 2025. Le Congrès des Citoyens Libres va s'étendre pour établir notre parti à travers le pays. Nous ne devons pas attendre une autorisation pour agir. Il est nécessaire de clarifier le débat politique. La fraude électorale se prépare en amont. Lorsqu'on écarte des concurrents ou qu'on monopolise l'organisation des élections, cela constitue une fraude. Tout citoyen digne de ce nom doit s'y opposer. »

La déclaration de candidature du Pr Daniel Mengara à la présidence de la transition et à l'élection présidentielle de 2025 représente un moment clé dans la politique gabonaise. Elle souligne les enjeux liés à la réforme des institutions et l'importance d'un dialogue ouvert et honnête. À un carrefour crucial, la réponse du Gabon à ces défis façonnera son futur démocratique.

AFRIQUE DE L’OUEST BURKINA FASO SELON REUTERS : Burkina Faso Une survivante d’un massacre décrit un bain de sang dans les tranchées. Une femme qui a survécu au massacre de centaines de villageois dans le centre du Burkina Faso a décrit l’horreur de la recherche de ses frères dans une interview, suite à l’attaque revendiquée par [JNIM] plus tôt [la semaine] dernière... Le massacre a eu lieu samedi matin, a déclaré la femme dans l’interview. L’armée avait forcé tous les habitants de la ville à creuser des tranchées pour la protéger des assaillants, tandis que les femmes et les jeunes enfants étaient envoyés couper les hautes herbes et les arbres pour améliorer la visibilité des soldats qui y étaient stationnés. Les militants, ou bushmen comme elle les décrit, sont arrivés vers 10 heures du matin et ont commencé à tuer, tirant sur les soldats et les civils. Ils ne se sont arrêtés que plus tard dans la journée, lorsque des drones sont arrivés et ont été entendus. Elle a dit qu’il a fallu trois jours aux survivants, pour la plupart des femmes et des enfants, pour récupérer les corps... La femme interrogée a déclaré que des civils, des soldats et des auxiliaires volontaires de l’armée connus sous le nom de VDP figuraient parmi les personnes attaquées. Une famille qu’elle connaissait a perdu 30 membres. Une autre famille de 13 membres a été complètement anéantie, a-t-elle dit. Le témoin oculaire a déclaré que les survivants ont emmené les corps au bureau du maire et se sont entraidés pour transporter les morts sur le site où les hommes creusaient des tombes... Une source de la société civile à Kaya a déclaré que les militaires avaient encerclé la ville où de nombreux survivants avaient fui et les empêchaient de partir ou de parler de ce qui s’était passé. L’effusion de sang met en évidence le danger que représente la dépendance croissante des autorités vis-à-vis des civils alors qu’elles luttent contre les groupes djihadistes qui ont déstabilisé des pans entiers de la région du Sahel, en Afrique de l’Ouest, depuis qu’une insurrection a pris racine au Mali en 2012.

 

AFRIQUE DE L’OUEST NIGER SELON VOANEWS : L’Allemagne met fin à ses opérations militaires au Niger dirigé par la junte. L’armée allemande a évacué vendredi une base aérienne au Niger dirigé par la junte et a rapatrié ses dernières troupes, achevant ainsi son retrait de la nation du Sahel. Fin mai, l’Allemagne et le Niger ont conclu un accord intérimaire permettant à l’armée allemande de continuer à exploiter sa base aérienne dans la capitale, Niamey, jusqu’à la fin du mois d’août. Mais les négociations pour prolonger cet accord ont échoué, notamment parce que le personnel de la base ne bénéficierait plus de l’immunité de poursuites... L’Allemagne exploitait la base au Niger depuis février 2016 et abritait autrefois quelque 3 200 personnes.

 

AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON ONU INFO Soudan : « Des conséquences désastreuses pour les survivantes » manquent de services médicaux et de traumatologie « Le manque de soins, la stigmatisation et les obstacles administratifs, notamment dans l’accès aux services médicaux et de traumatologie, aux kits de viol, à la contraception d’urgence et à l’avortement sécurisé pratiqué par des professionnels de la santé, ont entraîné des conséquences désastreuses pour les survivantes et des cycles répétés de violence », ont souligné [des experts indépendants de l’ONU vendredi]. Les experts ont ajouté que pour celles qui ont mené des grossesses à terme, les services pré et post-partum sont « rares, peu sûrs ou totalement inaccessibles ». Les nombreux cas documentés d’abus sexuels, de viols, de prostitution forcée, d’esclavage sexuel et d’homicides illégaux commis par les Forces de soutien rapide (RSF) paramilitaires et d’autres groupes armés se produisent dans le contexte d’une crise humanitaire catastrophique au Soudan.

 

AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON LE GARDIEN : Plus de 100 personnes tuées en tentant de s’évader de la plus grande prison de RDC. Plus de 100 personnes ont été tuées alors qu’elles tentaient de s’évader d’une prison de la capitale de la République démocratique du Congo aux premières heures de lundi, a déclaré le ministre de la Sécurité... Vingt-quatre des personnes qui sont mortes l’ont été par balle, tandis que les autres ont perdu la vie dans une bousculade pendant le chaos, a déclaré Jacquemain Shabani Lukoo. Il a également déclaré qu’un incendie s’était déclaré et avait détruit les bâtiments administratifs de la prison, le greffe, l’hôpital et les dépôts alimentaires... La prison de Makala est la plus grande du pays. Il a été construit pour accueillir 1 500 prisonniers, mais en abritait plus de 12 000 en octobre de l’année dernière, la plupart d’entre eux en attente de jugement, selon Amnesty International.

 

AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON REUTERS : Les vaccins contre la variole simienne arriveront en RD Congo dans les prochains jours, selon l’OMS. Le chef de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré vendredi que les vaccins contre la variole simienne devaient arriver en République démocratique du Congo dans les prochains jours pour lutter contre une nouvelle souche du virus... Quelque 230 000 doses de variole simienne sont immédiatement disponibles pour être expédiées, a ajouté Tim Nguyen, responsable de l’OMS. Ces doses ont été données par la Commission européenne et le fabricant danois de vaccins contre la variole simienne Bavarian Nordic, a déclaré M. Nguyen. L’OMS a déclaré que ses partenaires pouvaient commencer à acheter des vaccins contre la variole simienne avant qu’ils ne soient approuvés par l’agence de santé de l’ONU, levant ainsi ses règles habituelles dans le but d’accélérer les vaccinations en Afrique. Il examine actuellement les demandes de licences d’urgence pour deux vaccins fabriqués par Bavarian Nordic et KM Biologics par le japonais KM Biologics. Tedros a déclaré que ceux-ci devraient être accordés dans les deux prochaines semaines.

 

 

AFRIQUE DE L’OUEST NIGERIA SELON REUTERS : Le Nigeria commencera la vaccination contre la variole simienne le 8 octobre Le Nigeria commencera les vaccinations contre la variole simienne à partir du 8 octobre, après la conclusion des approbations réglementaires, a déclaré samedi un porte-parole de l’Agence nationale de développement des soins de santé primaires du pays à un journal local. Le Nigeria a reçu mardi le premier lot de 10 000 doses du vaccin contre la variole simienne de l’Agence des États-Unis pour le développement international. Le pays a confirmé 40 cas de variole simienne sans décès pour le moment... [Remi Adele, porte-parole de l’agence de développement] a déclaré que les vaccins seraient soumis à une analyse réglementaire en laboratoire pendant trois semaines, après quoi ils seraient distribués dans cinq États avec 4 750 personnes recevant deux doses chacune, à 28 jours d’intervalle.

AFRIQUE DU NORD TUNISIE SELON REUTERS : La commission électorale tunisienne a rejeté lundi une décision de justice réintégrant trois candidats à la présidentielle et la police a arrêté un autre candidat, dans ce que les critiques de l’opposition ont qualifié d’un nouvel exemple de l’étouffement de la concurrence par le président Kais Saied. Défiant la plus haute instance judiciaire, la commission n’a approuvé que les candidatures de Saied et de deux autres, Zouhair Magzhaoui et Ayachi Zammel, pour l’élection présidentielle du 6 octobre... Plus tôt lundi, la police a arrêté Zammel, a déclaré à Reuters un membre de sa campagne. Le membre de la campagne a déclaré que l’arrestation semblait avoir pour but de le distraire de sa campagne. Ces développements pourraient ébranler la crédibilité du vote et approfondir une crise politique qui s’est intensifiée depuis 2021, lorsque Saied a commencé à gouverner par décret dans un geste que l’opposition a qualifié de coup d’État. La semaine dernière, le tribunal administratif, la plus haute instance judiciaire qui statue sur les litiges électoraux, a réintégré trois candidats de premier plan, Mondher Znaidi, AbdelLatif Mekki et Imed Daimi, dans la course aux élections après que la commission électorale a rejeté leur candidature. Des dizaines de militants se sont rassemblés lundi près du siège de la commission, exigeant la démission de la commission.


AFRIQUE DU NORD LIBYE SELON LE GARDIEN : L’un des passeurs les plus notoires au monde, qui a abusé de sa position de membre de haut rang des garde-côtes libyens, a été abattu à Tripoli, ont annoncé des responsables italiens et libyens. Abd al Rahman Milad, connu sous le nom de Bija, a été tué alors qu’il quittait l’académie navale de Janzour, à Tripoli, à bord d’un véhicule conduit par un chauffeur. La voiture a été touchée par un barrage de tirs nourris, ont annoncé les services de renseignement italiens. Un rapport de sécurité de l’ONU a accusé Bija d’être « directement impliqué dans le naufrage de bateaux de migrants à l’aide d’armes à feu ». Il était considéré comme le chef d’une organisation criminelle opérant dans la région de Zawiya, dans le nord-ouest de la Libye, à environ 28 miles à l’ouest de Tripoli.

 

AFRIQUE SELON REUTERS : L’Afrique est confrontée à des coûts élevés alors que les températures montent en flèche, selon l’OMM. L’Afrique est confrontée à un tribut de plus en plus lourd en raison du changement climatique, de nombreux pays devant consacrer jusqu’à 9% de leur budget à la lutte contre les extrêmes climatiques, selon un rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) publié lundi. Bien qu’elle produise des émissions de gaz à effet de serre bien inférieures à celles des autres continents, les températures de l’Afrique ont augmenté plus rapidement que la moyenne mondiale. Les pays africains perdent aujourd’hui en moyenne 2 à 5 % de leur produit intérieur brut en raison des vagues de chaleur meurtrières, des pluies abondantes, des inondations, des cyclones et des sécheresses prolongées, selon le rapport de l’OMM sur l’état du climat en Afrique 2023.


AFRIQUE DE L’EST DJIBOUTI SELON VOAAFRIQUE : Le ministre djiboutien des Affaires étrangères, Mahmoud Ali Youssouf, a déclaré que son pays avait une proposition qui pourrait résoudre le différend entre la Somalie et l’Éthiopie. Dans une interview accordée au service Corne de l’Afrique de VOA, Youssouf a déclaré que son pays avait proposé de donner à l’Éthiopie l’accès au port de Tadjoura, à environ 100 kilomètres de la frontière avec l’Éthiopie. Il a déclaré que Djibouti et d’autres pays comme la Turquie tentaient de résoudre le différend entre la Somalie et l’Ethiopie, qui s’est enflammé au début de cette année lorsque l’Ethiopie a signé un protocole d’accord (MOU) avec la région séparatiste du Somaliland, un accord que la Somalie considère comme une atteinte à sa souveraineté... L’Ethiopie dépend déjà du principal port de Djibouti pour importer la plupart de ses marchandises, en utilisant quatre terminaux différents, a déclaré M. Youssouf, qui est candidat à la présidence de la Commission de l’Union africaine.

 

AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON REUTERS : Les États-Unis imposent des restrictions de visa aux membres du gouvernement et à d’autres personnes qui ont entravé l’aide humanitaire au pays en taxant les expéditions, a déclaré vendredi le département d’État. Le Soudan du Sud, où des centaines de milliers de personnes sont mortes à la suite de la guerre civile de 2013 à 2018, connaît l’une des pires crises humanitaires au monde en raison de conflits persistants, de catastrophes naturelles et de la pauvreté. Les missions de l’ONU sur place ont déclaré que les autorités sud-soudanaises retiennent des camions-citernes des Nations Unies en raison d’un différend fiscal, mettant en péril la livraison de millions de dollars d’aide pendant une crise humanitaire... « Malgré les assurances, le gouvernement n’a pas encore réduit efficacement les coûts inacceptables, les obstacles bureaucratiques et les risques liés à la fourniture d’une aide humanitaire aux Sud-Soudanais dans le besoin. « a déclaré le porte-parole du département d’État, Matthew Miller.

 

AFRIQUE DU NORD ALGERIE SELON VOANEWS : L’Algérie rejoint la nouvelle banque de développement des BRICS L’Algérie a été approuvée pour adhérer à la nouvelle banque de développement des BRICS (NDB), a annoncé le ministère des Finances du pays...La banque du groupe des BRICS – dont le nom dérive des initiales des membres fondateurs que sont le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud – vise à offrir une alternative aux institutions financières internationales comme la Banque mondiale et le FMI... Créée en 2015, la NDB a pour mission principale de mobiliser des ressources pour des projets dans les marchés émergents et les pays en développement. La NDB a élargi son adhésion au Bangladesh et aux Émirats arabes unis en 2021, ainsi qu’à l’Égypte en 2023.

 

JE CONCLU AFRIQUE DE L’OUEST  NIGERIA SELON HEURES DE LUX: Jeux paralympiques 2024 : Eniola Bolaji remporte la première médaille pour le Nigeria à Paris. Eniola Mariam Bolaji est devenue la première athlète africaine à remporter une médaille en para-badminton, remportant une médaille de bronze pour le Nigeria dans le simple féminin SL3. Bolaji a battu lundi matin son adversaire ukrainienne, Oksana Kozyna, en deux sets 2-0 (21-9, 21-9) pour remporter la 1ère médaille paralympique du Nigeria à Paris. Bolaji, qui avait les yeux rivés sur l’or, s’est inclinée 2-0 (16-21, 17-21) face à la Chinoise Zuxian Xiao en demi-finale dimanche, mais elle s’est assurée de rattraper le bronze lundi. Beaucoup seront heureux de voir que la disette de médailles pour le Nigeria a enfin pris fin après des sorties stériles aux Jeux Olympiques et au Championnat du monde d’athlétisme U-20 qui vient de s’achever.

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