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la ©Revue de presse des médias africains du 21 janvier 2025. REVUE DE PRESSE 21 janvier 2025

21 janvier 2025 - 17:15 - 634 vues

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Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT

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AFRIQUE CENTRALE GABON  SELON RADIOTAMTAM AFRICA : Gabon : Mays Mouissi sous le feu des projecteurs pour soupçons d’enrichissement suspect. Fraîchement nommé ministre de l’Environnement et du Climat lors du remaniement ministériel du 15 janvier 2025, Mays Mouissi fait désormais face à une enquête menée par la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite (CNLCEI). L’ancien ministre de l’Économie et des Participations est convoqué ce lundi 20 janvier pour répondre à des accusations d’enrichissement rapide et inexpliqué survenues en seulement quelques mois.

D’après des informations relayées par vxp241, la CNLCEI s’intéresse de près à plusieurs acquisitions immobilières et projets onéreux attribués à Mays Mouissi. Parmi les biens pointés du doigt figure une luxueuse résidence à Ndende, estimée à plus de 1,5 milliard de FCFA, comme le rapporte Dépêches241.

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Un autre projet controversé concerne la construction d’un bunker à proximité du stade de l’Amitié à Angondjé, ainsi que des chantiers de villas dans la zone d’Amissa, près des pompiers. Ces projets, qui impliquent des investissements jugés colossaux, ont été réalisés dans un laps de temps très court, éveillant les soupçons des enquêteurs.

Dans une déclaration officielle, la CNLCEI a précisé les raisons de son intervention :

« Nous informons le public que des procédures ont été ouvertes contre les personnes citées ci-dessous pour des soupçons de détournement de fonds publics, corruption, enrichissement illicite et conflits d’intérêts. »

Mays Mouissi est appelé à justifier l’origine des fonds ayant permis de financer ces acquisitions et projets. Bien que son audition ait été reportée en raison des cérémonies liées au remaniement ministériel, l’affaire reste au cœur de l’actualité.

Ancien activiste reconverti en homme politique, Mays Mouissi se retrouve confronté à une situation délicate. Sa nomination récente au poste de ministre de l’Environnement aurait pu être perçue comme une opportunité de redorer son image, mais ces soupçons viennent ternir son ascension.

Cette affaire met en lumière les interrogations récurrentes sur la gestion des deniers publics au sein du gouvernement gabonais. La CNLCEI, sous la présidence de Mbou Nestor, montre sa détermination à enquêter sur tous les responsables, quelle que soit leur influence. À noter que Mbou Nestor est l’époux de Nicole Jeanine Roboty épouse Mbou, prédécesseure de Mays Mouissi au ministère de l’Économie.

Cette convocation symbolise une volonté d’assurer la transparence et de rétablir la confiance dans la gestion des affaires publiques, tout en rappelant que nul n’est au-dessus des lois.

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AFRIQUE SUD-EST MOZAMBIQUE  SELON BBC : Le principal chef de l’opposition mozambicaine du Mozambique, Venâncio Mondlane, a déclaré à la BBC qu’il était prêt à servir dans le gouvernement si le président Daniel Chapo répondait à ses exigences de mettre fin à la crise politique qui a frappé le pays à la suite d’élections contestées. El Chapo a déclaré qu’il avait mis en place une équipe qui « examinait » si son rival devrait être invité à rejoindre un nouveau gouvernement « inclusif ». Les deux hommes ont exposé leurs positions dans des interviews séparées avec la BBC, donnant l’impression qu’ils étaient ouverts au rapprochement après la mort d’environ 300 personnes dans les troubles post-électoraux. Mondlane a rejeté sa défaite aux élections d’octobre, affirmant que le résultat était truqué... Mondlane a déclaré à la BBC que Chapo avait été « imposé » à la nation et qu’il était le « président de la force de défense ». Mondlane a déclaré qu’il avait néanmoins décidé de suspendre les manifestations pendant les 100 premiers jours du mandat de son rival à condition qu’il fasse ce qui suit : libérer sans condition environ 5 000 personnes détenues pour avoir participé à des manifestations contre le résultat des élections ; verser des compensations financières aux familles des personnes tuées par la police lors des manifestations ; et offrir des soins médicaux gratuits à environ 200 personnes blessées par la police. Mondlane a déclaré que si Chapo était d’accord, il « ouvrirait une fenêtre » pour des négociations ou bien il appellerait ses partisans à renouveler les protestations.

 

 

AFRIQUE SUD-EST ENCORE MOZAMBIQUE  SELON APNEWS : L’ancien ministre des Finances du Mozambique écope de deux ans et demi de prison dans une affaire de corruption L’ancien ministre des Finances du Mozambique a été condamné à deux ans et demi de prison supplémentaires par un tribunal américain pour son rôle dans le scandale des « obligations au thon » qui a déclenché une crise financière dans ce pays africain en difficulté. Manuel Chang, 69 ans, a été reconnu coupable l’année dernière d’avoir accepté des pots-de-vin pour mettre secrètement son pays en jeu pour environ 2 milliards de dollars de prêts de grandes banques étrangères. Un juge fédéral de New York a condamné vendredi Chang à huit ans et demi de prison, dont près de six ans qu’il a déjà purgés derrière les barreaux aux États-Unis et en Afrique du Sud, où il a été arrêté en 2018. M. Chang a été le plus haut responsable financier du Mozambique de 2005 à 2015, date à laquelle il a signé des prêts censés payer une flotte de pêche au thon, un chantier naval, des navires de la Garde côtière et d’autres projets maritimes pour ce pays d’Afrique australe. Au lieu de cela, les banquiers et les responsables gouvernementaux ont pillé les fonds par le biais de pots-de-vin et de pots-de-vin, selon les procureurs. Au cours du procès, les procureurs ont déclaré que Chang avait empoché 7 millions de dollars de pots-de-vin, qui, selon eux, ont été transférés par des banques américaines à des comptes européens.

 


AFRIQUE DE L’OUEST MALI  SELON AFRICA CONFIDENTIELLE : Les juntes du Sahel défient les mineurs occidentaux dans la ruée géopolitique vers l’or L’affrontement entre le régime militaire du général Assimi Goïta et la société canadienne Barrick Gold a atteint un point critique avec la suspension des travaux du conglomérat minier sur le complexe de Loulou-Gounkoto après que le gouvernement a utilisé des hélicoptères militaires pour saisir plus de trois tonnes d’or, d’une valeur d’environ 245 millions de dollars, le 11 janvier... L’escalade du différend entre le Mali et Barrick fait suite à des mois de négociations houleuses sur le partage des revenus et la nouvelle réglementation minière. Cela reflète des différends similaires entre les sociétés minières occidentales et les juntes au Burkina Faso et au Niger. Mais c’est au Mali que les enjeux en dollars et en géopolitique sont les plus importants... L’Africa Corps russe (le groupe Wagner, aujourd’hui sous le commandement direct du GRU à Moscou) surveille de près les développements miniers dans les trois pays... Au cœur des problèmes des sociétés minières du deuxième plus grand producteur d’or d’Afrique se trouve la quête de la junte pour obtenir des paiements uniques importants afin de régler des réclamations fiscales datant d’une décennie et d’obtenir une plus grande part des revenus des opérations futures. Après avoir investi des milliards de dollars dans l’exploitation de mines et des projets d’expansion, ces entreprises au Mali tentent de négocier les accords les moins douloureux.

 

AFRIQUE DE L’OUEST MALI  SELON VOANEWS : Un journaliste nigérien détenu après la suspension d’une chaîne, selon une association Un journaliste majeur du Niger a été placé en garde à vue samedi, a annoncé une association, au lendemain de la suspension de la chaîne de télévision privée qu’il dirige à la suite d’un reportage critiquant le régime dirigé par l’armée. Seyni Amadou, rédacteur en chef de Canal 4 TV, a été arrêté, a déclaré CAP-Medias-Niger, qui représente les travailleurs des médias dans le pays. Vendredi, le ministère nigérien de la Communication a annoncé que la chaîne avait été retirée des ondes pour un mois. La chaîne de télévision publique Télé Sahel a déclaré que la chaîne Canal 3 avait été sanctionnée « pour violation des règles d’éthique et de déontologie ». Canal 3 a indiqué à l’AFP dans un communiqué que la suspension était « liée à une émission sur le classement des ministres » dans le gouvernement du Premier ministre Ali Mahaman Lamine Zeine, un civil nommé par le régime militaire. Dans le classement du rapport, Zeine a été placé en tête et plusieurs de ses ministres ont été qualifiés de « ventre mou » du gouvernement... [Le Niger] a également bloqué des chaînes internationales telles que Radio France Internationale (RFI), France 24 et la BBC.

 

 

AFRIQUE DE L’OUEST ENCORE LE MALI  SELON REUTERS : Une alliance rebelle touareg dans le nord du Mali a libéré un Espagnol enlevé en Afrique du Nord le 17 janvier, ont déclaré lundi soir deux porte-parole du groupe. Le ministère espagnol des Affaires étrangères a déclaré vendredi qu’un Espagnol avait été enlevé en Afrique du Nord... Dans un post sur X, l’un des dirigeants du Front de libération de l’Azawad (FLA) a déclaré qu’un ressortissant espagnol nommé Gilbert Navarro « enlevé en Algérie il y a quelques jours » et transporté par ses ravisseurs dans le nord du Mali avait été libéré lundi par les forces de la FLA. L’ancien otage passera la nuit à titre protecteur avec les FLA avant d’être transféré aux autorités algériennes, a déclaré Attaye Ag Mohamed, qui fait également office de porte-parole du groupe.

 

AFRIQUE CENTRALE RDCONGO  SELON VOANEWS : Un hôpital de Goma a accueilli plus de 200 blessés depuis début janvier alors que les combats s’intensifient dans l’est du Congo, ont indiqué lundi à l’AFP la Croix-Rouge et des sources locales. Ces dernières semaines, l’est du Congo a été le théâtre d’une escalade des affrontements entre l’armée congolaise et le Mouvement M23, un groupe armé soutenu par le Rwanda. Alors que le M23 se rapproche de Goma, l’hôpital de la capitale provinciale doit s’occuper de plus en plus de personnes touchées par les combats, selon la Croix-Rouge... Lundi, les combats ont atteint les collines de Sake, une ville située à environ 20 kilomètres à l’ouest de Goma. Depuis sa résurgence fin 2021, le M23 – qui prétend défendre les Tutsis ethniques – s’est emparé de vastes étendues de l’est du Congo, riche en minerais. Début janvier, le M23 a pris le contrôle de Masisi, la capitale administrative du territoire de Masisi située à 80 kilomètres de Goma... Plusieurs sources sécuritaires ont indiqué à l’AFP que l’intensité des combats était actuellement à un niveau jamais vu depuis des mois, avec un nombre élevé de morts et l’utilisation d’artillerie lourde.

 

 

AFRIQUE CENTRALE ENCORE LA RDCONGO  SELON REUTERS : Les rebelles du M23 s’emparent de la ville de Minova, dans l’est de la République démocratique du Congo Les rebelles du M23 se sont emparés de la ville de Minova, dans l’est de la République du Congo, principale route d’approvisionnement de la capitale provinciale Goma, ont déclaré mardi un porte-parole des rebelles et le gouverneur de la province. Le groupe M23 dirigé par les Tutsis mène une nouvelle insurrection dans l’est de ce pays d’Afrique centrale depuis 2022. Le Congo et les Nations unies accusent le Rwanda voisin de soutenir le groupe avec ses propres troupes et armes. Le Rwanda dément... La chute de la ville pourrait mettre la ville clé de Goma, à environ 40 km, dans le collimateur des rebelles. La prise de la ville a été confirmée par le gouverneur de la province, Jean-Jacques Purusi. 

 

 

AFRIQUE DE L’OUEST NIGERIA  SELON APNEWS : Le Nigeria est admis en tant que pays partenaire du bloc des BRICS Le Nigeria a été admis en tant que « pays partenaire » du bloc des économies en développement des BRICS, selon le Brésil, président du groupe. Les BRICS ont été formés par le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine en 2009, avec l’Afrique du Sud ajoutée en 2010, comme contrepoids au Groupe des sept principaux pays industrialisés. L’année dernière, le bloc a ajouté l’Iran, l’Égypte, l’Éthiopie et les Émirats arabes unis. L’Arabie saoudite a été invitée à y adhérer. La Turquie, l’Azerbaïdjan et la Malaisie ont officiellement demandé à devenir membres, et quelques autres ont exprimé leur intérêt. Le Nigeria devient le neuvième pays partenaire des BRICS, rejoignant la Biélorussie, la Bolivie, Cuba, le Kazakhstan, la Malaisie, la Thaïlande, l’Ouganda et l’Ouzbékistan.

 

 

AFRIQUE DE L’EST SOUDAN  SELON ONU INFO : La guerre au Soudan devient plus meurtrière alors que les attaques à motivation ethnique se multiplient. Le conflit au Soudan prend une « tournure encore plus dangereuse pour les civils », a déclaré vendredi le Haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk. Son avertissement fait suite à des informations selon lesquelles des dizaines de personnes ont été brutalement tuées dans des attaques à caractère ethnique dans l’État d’Al Jazirah, dans le sud-est du pays, et au milieu d’informations faisant état d’une bataille imminente pour le contrôle de la capitale du pays, Khartoum. Les Forces armées soudanaises (SAF) et une armée rivale, les Forces de soutien rapide (RSF), se battent depuis avril 2023 dans ce que M. Türk a qualifié de « guerre insensée »... Rien qu’au cours de la semaine dernière, son bureau, le HCDH, a recensé au moins 21 morts dans seulement deux attaques contre des camps à Al Jazirah, situé à une quarantaine de kilomètres de la capitale de l’État, Wad Madani. Cependant, le nombre réel d’attaques dirigées contre des civils, et de civils tués, est probablement plus élevé... De graves inquiétudes persistent également pour les civils du Darfour-Nord, où les attaques à caractère ethnique menées par les RSF et leurs milices arabes alliées contre des groupes ethniques africains, en particulier les Zaghawa et les Four, continuent de faire des ravages.

 

AFRIQUE DE L’OUEST GHANA  SELON BBC : Au moins sept personnes ont été tuées lors d’un affrontement avec des soldats en service dans une mine de la région centrale d’Ashanti, selon l’armée. Les forces armées ghanéennes ont déclaré qu’une soixantaine de mineurs illégaux, armés entre autres de « canons à pompe », s’étaient introduits de force dans la mine gérée par le géant mondial AngloGold Ashanti et avaient tiré sur les soldats lorsqu’ils ont été interceptés. Cela a incité les soldats « à riposter en légitime défense », entraînant des morts et des blessés, a indiqué le communiqué dans un communiqué. Un représentant des mineurs a nié qu’ils aient été armés... Il y a eu des tensions entre AngloGold Ashanti et les habitants qui les accusent d’exploiter les ressources minières sans faire grand-chose pour développer la zone ou créer des emplois... Le Ghana traverse sa pire crise économique depuis une génération avec une dette publique élevée, une inflation élevée et un taux de chômage. Dans le contexte de la crise économique, il y a eu une augmentation de l’exploitation minière à petite échelle, y compris des sites non réglementés qui ont été accusés d’avoir un impact dévastateur sur l’environnement.

 

AFRIQUE DE L’EST TANZANIE  SELON BBC : La présidente de la Tanzanie a annoncé une épidémie du virus Marburg, un virus semblable à Ebola, une semaine seulement après que son ministre de la Santé a nié qu’il y avait des cas dans le pays. La présidente Samia Suluhu Hassan a déclaré lundi lors d’une conférence de presse que les autorités sanitaires avaient confirmé un cas de Marburg dans la région de Kagera, au nord-ouest du pays... Le 14 janvier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a signalé une épidémie suspecte de Marburg dans le pays, après avoir enregistré neuf cas suspects et huit décès en cinq jours à Kagera. Mais la ministre tanzanienne de la Santé, Jenista Mhagama, a déclaré dans un communiqué qu’après l’analyse des échantillons, tous les cas suspects se sont révélés négatifs pour Marburg... Lors de la conférence de presse de lundi, qui s’est tenue conjointement avec l’OMS, la présidente Samia a déclaré que son gouvernement avait intensifié ses efforts et qu’une équipe d’intervention rapide avait été envoyée pour suivre tous les cas suspects. Marburg est très contagieux, avec des symptômes tels que fièvre, douleurs musculaires, diarrhée, vomissements et, dans certains cas, la mort par perte de sang extrême. En moyenne, le virus tue la moitié des personnes qu’il infecte, selon l’OMS.

 

AFRIQUE LIBERTE DE LA PRESSE  SELON VOANEWS : Au moins 67 journalistes sont emprisonnés à travers l’Afrique, ce qui reflète la lutte continue du continent pour la liberté de la presse, selon un rapport publié jeudi. Les cas en Afrique représentent un total de 361 journalistes emprisonnés au 1er décembre, selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ). Il s’agit du deuxième nombre le plus élevé jamais enregistré par le CPJ. Muthoki Mumo, coordinateur du programme Afrique au CPJ, a déclaré que le rapport met en évidence une tendance mondiale dans laquelle les régimes autoritaires utilisent les lois contre les journalistes, en utilisant la sécurité nationale, la lutte contre le terrorisme et la cybercriminalité pour justifier la répression. Bien que ces tendances ne se limitent pas à l’Afrique, le continent a connu des cas alarmants de journalistes faisant l’objet de poursuites en vertu de ces lois, a déclaré Mumo. Des pays comme le Burundi, l’Ethiopie et le Nigeria utilisent la législation destinée à la sécurité publique pour criminaliser le journalisme, a déclaré Mumo... Les plus grands geôliers du continent sont des noms familiers, l’Égypte étant en tête de liste des pires geôliers de journalistes, avec 17 détenus... Bien que le recensement des prisons offre un aperçu de la situation à une date précise, Mumo a déclaré que le rapport ne peut à lui seul saisir pleinement la réalité souvent fluide à laquelle les journalistes sont confrontés. Le rapport offre une petite fenêtre sur la liberté de la presse, a déclaré Mumo, "parce qu’il y a des journalistes qui entrent et sortent de prison à d’autres moments de l’année. Ils ne sont pas reflétés dans ce chiffre.

 

AFRIQUE DE L’EST KENYA  SELON APNEWS : Le Kenya déploie 217 policiers supplémentaires en Haïti dans le cadre de la Mission soutenue par l’ONU pour lutter contre la violence des gangs Le Kenya a déployé 217 policiers supplémentaires en Haïti dans le cadre d’une force multinationale visant à endiguer la violence des gangs qui sévit dans ce pays des Caraïbes, a déclaré samedi le ministre kényan de l’Intérieur. Selon le ministre, Kipchumba Murkomen, les policiers ont quitté le Kenya vendredi... Le Kenya a d’abord envoyé des troupes en Haïti en juin et le déploiement total dépasse maintenant 600 hommes. Le président kényan William Ruto s’est engagé à déployer 1 000 soldats dans le cadre de la force soutenue par l’ONU en Haïti. La violence des gangs a laissé plus de 700 000 Haïtiens sans abri ces dernières années, beaucoup s’entassant dans des abris de fortune et insalubres après que des hommes armés ont rasé leurs maisons. Le Kenya a d’abord envoyé des troupes en Haïti en juin et le déploiement total dépasse maintenant 600 hommes. Le président kényan William Ruto s’est engagé à déployer 1 000 soldats dans le cadre de la force soutenue par l’ONU en Haïti. La violence des gangs a laissé plus de 700 000 Haïtiens sans abri ces dernières années, beaucoup s’entassant dans des abris de fortune et insalubres après que des hommes armés ont rasé leurs maisons.

 

 

AFRIQUE DE L’EST ERYTHREE SELON LE GARDIEN : « C’était presque un soulagement quand quelqu’un est mort » : d’anciens prisonniers sur la torture et la terreur des prisons secrètes d’Érythrée En 2023, l’Érythrée était la quatrième plus grande source de personnes arrivant au Royaume-Uni sur de petits bateaux, avec 2 662 arrivées. Mais la majeure partie des réfugiés érythréens restent en Afrique de l’Est. L’Éthiopie en accueille le plus grand nombre, avec 158 000 en 2023. Ceux qui se trouvent encore en Érythrée risquent de disparaître dans son vaste système de détention, qui comprend des cellules souterraines dans des bases militaires et des installations si secrètes que même les détenus ne connaissent pas leurs noms. Dans certains centres, les prisonniers sont enfermés dans des conteneurs étouffants dans le désert... En 2014, l’ONU estimait que les prisons militaires érythréennes détenaient à elles seules au moins 14 000 personnes. Parmi les détenus figurent des politiciens de l’opposition, des journalistes et des chefs religieux, ainsi que des personnes qui se soustraient à la conscription. La torture et les abus sexuels à l’encontre des conscrits sont monnaie courante.

 

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