Radio TAMTAM AFRICA REVUE DE PRESSE AFRICAINE – RADIOTAMTAM AFRICA REVUE DE PRESSE AFRICAINE – RADIOTAMTAM AFRICA 13 décembre 2025
13 décembre 2025 - 23:34 - 113vues
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REVUE DE PRESSE AFRICAINE – RADIOTAMTAM AFRICA
samedi 13 décembre 2025 – 19h GMT
Présentée par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT depuis Bezons, Île-de-France.
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Nous sommes le samedi 13 décembre 2025, et je suis Félicité Amaneyâ Râ Vincent, journaliste indépendante, engagée, fière de vous offrir chaque jour un regard sans filtre sur les faits marquants du continent. Chaque semaine, vous retrouvez ici une sélection rigoureuse de l’actualité africaine et diasporique : politique, économie, culture et société. Un regard enraciné dans le continent, ouvert sur le monde.
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Le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, s’est déclaré profondément alarmé par l’escalade de la violence dans la province du Sud-Kivu et par ses graves conséquences humanitaires, notamment le déplacement de plus de 200 000 personnes depuis le 2 décembre. Il condamne également la nouvelle offensive menée par la rébellion du M23/AFC dans cette région. Dans un communiqué publié ce jeudi 11 décembre par son porte-parole, le Secrétaire général de l’ONU condamne fermement la nouvelle offensive lancée par l’Alliance Fleuve Congo/Mouvement du 23 mars (AFC/M23) dans plusieurs localités du Sud-Kivu, dont Kamanyola, Luvungi, Katogota et Uvira, qui a causé des victimes parmi les civils. Le Secrétaire général appelle à une cessation immédiate et inconditionnelle des hostilités, conformément à la résolution 2773 (2025) du Conseil de sécurité. Il avertit que cette escalade risque de compromettre les efforts visant à une solution durable à la crise et d’accroître le risque d’un embrasement régional plus large.
AFRIQUE DES GRANDS LACS BURUNDI SELON AFRICANEWS : Burundi : le HCR s’inquiète de l’arrivée massive de réfugiés congolais. Au Burundi, des milliers de nouveaux réfugiés congolais affluent pour fuir les violents affrontements opposant les rebelles du M23 aux FARDC et à leurs alliés. Pour les accueillir, de nouveaux camps de déplacés ont été mis en place. C’est notamment le cas du site de Kansega, situé en zone Ndava, commune Bukinyana, dans la province de Bujumbura, à l’ouest du pays, frontalière de la République démocratique du Congo (RDC). Sur place, les conditions de vie sont extrêmement précaires : absence d’eau potable, de latrines, d’abris. Dépouillés de tout, beaucoup de réfugiés affirment avoir vécu l’enfer avant d’atteindre le territoire burundais. … Rien que pour la semaine du 5 au 11 décembre, le Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) fait état de 40 000 nouveaux réfugiés congolais entrés au Burundi. Ils sont répartis dans trois sites de transit Kansega, Cishemere et Gatumba.
AFRIQUE CENTRALE LACS TCHAD SELON SAHEL INTELLIGENCE : Bassin du Lac Tchad : L’ONU alerte sur l’impact de l’insécurité sur la stabilité régionale. Les Nations Unies ont exprimé jeudi de vives inquiétudes concernant les conséquences de l’insécurité persistante dans le Bassin du Lac Tchad, soulignant les risques qu’elle fait peser sur la stabilité de l’Afrique centrale. Lors de son intervention devant le Conseil de sécurité à New York, Abdou Abarry, le chef du Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (UNOCA), a particulièrement insisté sur la menace croissante des groupes armés liés à Boko Haram. Ces derniers, selon lui, continuent d’évoluer et de s’adapter face aux opérations militaires menées par les pays affectés par le conflit. « Dans le Bassin du Lac Tchad, ces groupes démontrent leur capacité à se restructurer, exacerbant ainsi la vulnérabilité des populations », a-t-il déclaré, précisant que des millions de personnes restent déplacées, vivant dans des conditions extrêmes. Le représentant de l’ONU a également souligné que l’insécurité dans cette zone, combinée à la guerre au Soudan, entraîne des vagues massives de réfugiés, fragilisant davantage les États de la région. Il a précisé que cette crise humaine touche particulièrement les femmes et les enfants, qui subissent les pires conséquences.
AFRIQUE DE L’OUEST BENIN SELON SAHEL INTELLIGENCE : Cotonou : 200 soldats nigérians et ivoiriens déployés au Bénin après la tentative de coup d’Etat. Environ 200 soldats nigérians et ivoiriens ont été déployés au Bénin pour soutenir le gouvernement suite à une tentative de coup d’État survenue le week-end dernier, a annoncé jeudi le ministre béninois des Affaires étrangères. Le Nigeria, la France et la Côte d’Ivoire sont intervenus dimanche pour contrer le putsch et maintenir la stabilité du gouvernement civil. « Actuellement, environ 200 soldats sont présents pour prêter main-forte aux forces béninoises dans le cadre d’une opération de nettoyage et de ratissage », a précisé Olushegun Adjadi Bakari lors d’une conférence de presse à Abuja. Selon une source de sécurité ivoirienne, cinquante soldats ont été envoyés par Abidjan dans cette mission, tandis que la CEDEAO a indiqué que d’autres troupes en provenance du Ghana et de la Sierra Leone se joindraient également à l’effort. Le déploiement militaire a commencé dès dimanche, lorsque le Nigeria a confirmé l’arrivée de ses troupes au Bénin.
AFRIQUE DE L’OUEST NIGER SELON RFI : Niger: un collectif exige la libération du président déchu Mohamed Bazoum, détenu depuis juillet 2023. Le Collectif international pour la libération de Mohamed Bazoum adresse une lettre ouverte à plusieurs institutions internationales. Signé par plus de 150 personnes, le texte appelle à une mobilisation internationale urgente pour la libération du président nigérien renversé par un coup d’État militaire le 26 juillet 2023. Depuis cette date, son épouse et lui se trouvent toujours détenus à la résidence présidentielle de Niamey. La lettre ouverte est adressée au secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’aux présidents des commissions de l’Union européenne (UE), de l’Union africaine (UA) et de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Le collectif dénonce une détention arbitraire et demande à ces institutions une prise de position publique. Nicolas N’Diaye, ancien parlementaire et secrétaire général de la Ligue démocratique du Sénégal, fait partie des signataires. « Le président Mohamed Bazoum, depuis deux ans et demi, est séquestré, rappelle-t-il au micro de Magali Lagrange. Et ceci est contraire à toutes les règles nationales et internationales, avec les conditions de sa détention, un isolement prolongé, un accès limité aux soins, une restriction des contacts avec l’extérieur et l’absence de toute évaluation médicale ».
AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON RFI : Guerre au Soudan: l’ONU veut organiser des rencontres à Genève avec les belligérants. L’Organisation des Nations unies (ONU) veut organiser une rencontre entre les deux parties en conflit au Soudan depuis le 15 avril 2023, l’armée régulière du général al-Burhan et les paramilitaires du général Hemedti. C’est ce qu’a annoncé jeudi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, en visite à Riyad. « Nous tiendrons à Genève des réunions avec les deux côtés », a-t-il indiqué à la presse. Antonio Guterres a qualifié cette guerre au Soudan de véritable scandale et indiqué que l’ONU s’était vu promettre un accès à el-Fasher, ville prise par les paramilitaires il y a près de deux mois. Des déclarations faites après avoir rencontré le prince héritier Mohammed ben Salmane ben Abdelaziz al-Saoud, l’Arabie saoudite étant l’un des pays médiateurs dans ce conflit au Soudan. Mais aucune date n’a été communiquée. Selon un des porte-paroles de Guterres : « Ils envisagent des discussions techniques. Rien n’est confirmé. » Mais « ils ont bon espoir de pouvoir aller de l’avant et de convaincre les deux parties. » Jusqu’à présent, les tentatives de médiation, pour obtenir un arrêt des combats, n’ont pas abouti.
AFRIQUE DE L’EST SOUDAN DU SUD SELON LE MONDE : Soudan du Sud : accord entre les autorités et les belligérants soudanais sur un champ pétrolier frontalier. Le Soudan du Sud a annoncé, jeudi 11 décembre, qu’« un accord tripartite a été conclu entre les forces armées sud-soudanaises (SSPDF), les FAS [forces armées du Soudan] et les FSR [forces de soutien rapide], accordant aux SSPDF la responsabilité principale de la sécurité du champ pétrolier de Heglig (…) dans un contexte de tensions croissantes », a déclaré le porte-parole du gouvernement sud-soudanais, Ateny Wek Ateny, alors que les paramilitaires soudanais se sont emparés du site lundi. Le site de Heglig abrite la principale installation de traitement du pétrole sud-soudanais destiné à l’exportation via Port-Soudan et est situé dans l’extrême sud de la région soudanaise méridionale du Sud-Kordofan, frontalière du Soudan du Sud. Cette région est devenue l’épicentre actuel des combats, à la suite de la prise de contrôle en octobre de la totalité de celle du Darfour, dans l’ouest du pays, par les paramilitaires des FSR qui affrontent les FAS depuis 2023. Le Soudan du Sud est préoccupé par l’insécurité croissante autour du champ pétrolier et a « toujours plaidé en faveur d’une solution pacifique et diplomatique », a souligné M. Ateny, lors d’une conférence de presse, sans entrer dans le détail du contenu du texte. Les FSR ont annoncé au début de la semaine avoir pris le contrôle de Heglig « après la fuite de l’armée » soudanaise.
AFRIQUE CENTRALE CENTRAFRIQUE SELON AFRICANEWS : Centrafrique : les élections générales du 28 décembre sous haute tension. La République centrafricaine s’apprête à organiser, le 28 décembre, une quadruple élection (présidentielle, législative, régionale et municipale), qualifiée d’ »historique » par Abdou Abarry, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique centrale et Chef de l’UNOCA. Lors de son intervention devant le Conseil de sécurité, M. Abarry a souligné que ce scrutin marque un tournant décisif pour le pays, alors que Bangui consolide ses efforts de paix internes et renforce la sécurisation de ses frontières, notamment avec le Tchad et le Cameroun. … Des défis persistants pour l’UNOCA Cependant, le représentant de l’ONU a alerté sur les difficultés opérationnelles de l’UNOCA, liées à un manque de financement. Malgré la conscience des contraintes budgétaires de l’Organisation, il a pointé du doigt les conséquences directes : une réduction de 20 % du personnel et des restrictions de déplacement qui « entravent sérieusement » la capacité de l’UNOCA à remplir son mandat dans une région où son rôle est crucial.
AFRIQUE CENTRALE CAMEROUN SELON RFI : Cameroun: première audience pour 77 personnes arrêtées après les contestations post-électorales. Au Cameroun, une première grande audience s’est tenue jeudi 11 décembre au tribunal militaire de Yaoundé pour les personnes interpellées lors des contestations postélectorales. Au total, 77 prévenus ont comparu. Ils avaient été arrêtés dans la capitale après les manifestations qui ont suivi la déclaration de victoire de l’opposant Issa Tchiroma Bakary à l’élection présidentielle du 12 octobre 2025. « La plupart des personnes interpellées ne s’expriment pas très bien dans les langues officielles au Cameroun et s’expriment plutôt en haoussa et en fulfuldé pour certaines », explique Maître Ndam, membre d’un collectif d’avocats qui défend les personnes incarcérées depuis la crise postélectorale. Il est donc question « qu’à la prochaine audience, des interprètes soient fournis par le tribunal », pointe l’avocat. La défense et l’accusation doivent aussi produire la liste des témoins en vue de la prochaine audience, prévue le 8 janvier prochain. Selon les avocats, plusieurs personnes arrêtées dans le cadre de la crise postélectorale sont toujours en attente de déferrement, détenues dans des unités de police et de gendarmerie.
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